La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1517)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1512) -
Ainsi elles se pénétrèrent mutuellement et jouirent uniquement sous ordre pour y être autorisées...
Comme c'était désormais le cas chaque matin, l'esclave Joëlle vint me sortir de la cage où Maitre Edouard, Marquis d'Evans, avait daigné m'accorder quelques heures de sommeil, après une longue séance nocturne durant laquelle la souplesse de mon orifice anal avait été mise à rude épreuve, afin de tester une série de godemichets qu'un créateur plasticien avait obtenu l'honneur de présenter au Noble. L'homme, que l'on sentait fort intimidé devant la personnalité et le fort charisme de Celui qui lui accordait audience, et ce malgré le fort jeune âge du Maître, avait pu présenter à Monsieur le Marquis toute une série de godes et plugs de sa création, faits dans une matière plastique plus ou moins élastique et qui imitait à merveille la chair, les veines dune véritable verge en érection ... Par ailleurs, un ingénieux système permettait d'une simple pression sur une poire raccordée par un tuyau de les faire gonfler et durcir à l'instar d'un pénis humain (si à notre époque cest devenu banal, dans les années 80 cétait assez novateur). Le créateur ne cachait pas son espoir que le jeune Châtelain puisse recommander auprès du Cercle des Supérieurs et de Ses nombreuses et prestigieuses relations, ces instruments pouvant être objets de plaisir, autant qu'accessoires contraignant.
C'était plutôt cette seconde option qui intéressait pour l'heure le Maître et j'avais du demeurer de longues heures en position d'offrande, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe relevée et offerte, cuisses largement écartées, recevant les divers modèles et tailles de godes dans le cul. Ces accessoires maniés par leur créateur démontrant qu'ils pouvaient s'avérer une excellente façon de châtier un (e) esclave.
Lorsque démonstration eut été faite de toutes les références du catalogue et de la façon de les utiliser dans le cul de lesclave que je suis, le Maître ordonna quun gode dun volume assez conséquent soit maintenu dans mon fondement. De plus, Il fit également tester un bâillon-pénis sur ma bouche. Je demeurai donc ainsi encore un long, très long moment, bouche et cul remplis, les yeux bandés. Mais j'entendais cependant que c'était maintenant au tour des deux femelles soumises de tester ces si nombreux sexes factices, sous Son regard attentif. Mais aussi, bonheur insigne pour elles, avec la participation du Maître qui tenait à constater par Lui-Même sur Ses chiennes la qualité des objets soumis à Son jugement. Ce n'est donc que loin dans la nuit, peut-être même au petit jour, mes yeux bandés m'interdisant de connaître la luminosité du moment, que je fus ramené à ma cage pour un trop bref moment de répit, enfin libéré des instruments qui avaient empli durant de longues heures mes orifices et en particulier mon trou du cul, maintenant en feu et largement dilaté...
Joëlle, donc, vint me chercher et à ma grand surprise, elle me mena jusqu'à la salle de bains, où une bassine d'eau encore savonneuse et un gant de toilette me permirent de faire une toilette plutôt correcte, même si cétait toujours à leu froide.
Nous étions parvenus dans le quartier des affaires de La Défense où des centaines douvriers étaient en train de construire ce que lon va appeler plus tard la grande Arche de la Défense (nous sommes dans les années 80). Un peu plus loin, de hautes maisons de pierres de style immeubles haussmanniens, de larges avenues, des platanes feuillus, des berlines noires de luxe aux vitres teintées générant une ambiance feutrée à lintérieur... Même avant que le jeune Marquis ne fit de moi Son esclave, j'étais intimidé à l'idée des décisions qui devaient être prises derrière ces murs épais, symboles de puissance financière. Dans ma condition d'esclave, je ne savais quoi penser. Pourtant, esclave Joëlle emprunta la porte monumentale de l'un de ces hauts immeubles, dont la raison sociale n'était indiquée que par une rutilante plaque de cuivre que je n'eus pas le loisir de déchiffrer.
Tout en douceur et souplesse, l'ascenseur atteignit l'étage indiqué. Toujours sans un mot, Joëlle s'engagea dans un long couloir bordé de portes épaisses, toutes fermées. Il n'y avait pas un bruit, les talons de la soumise étant étouffés par l'épais tapis qui courait tout au long du couloir feutré. Enfin, Joëlle s'arrêta devant une de ces portes et frappa trois coups nets. La porte s'ouvrit sur une jeune femme en chemisier et jupe grise, très stricte au chignon et lunettes. Sans aucun sourire, ni un mot, elle nous introduisit en nous priant de la suivre par un simple geste convenu, traversant une sorte de pièce d'accueil où je devinais le bureau de celle qui venait de nous ouvrir. Sans aucun doute une secrétaire soumise car jeu le temps dapercevoir un gode fixé à la vertical sur son siège de bureau... Nous fûmes introduits dans un autre mais beaucoup plus vaste bureau derrière lequel se tenait... Chloé. C'est donc ici que la jeune et belle experte financière exerçait ses talents dans les affaires, lorsqu'elle n'était pas la créature soumise à toutes les Volontés du Maître Edouard d'Evans. D'ailleurs, le Maître était également présent, installé dans un fauteuil occupant le centre de ce vaste bureau cossu. Ce qui me fit comprendre que Chloé avait été placée dans cet immeuble pour travailler, certainement embauchée par le Châtelain après lavoir débauchée de son ancien poste mais toujours en tant qu'experte financière
Jappris bien plus tard que cet immeuble appartenait au Cercle des Supérieurs
- chienne Léa, que l'on ne nous dérange plus, intima Chloé à destination de la secrétaire soumise qui répondit un "Oui Madame" tout en baissant la tête juste avant de ressortir.
Mais chienne Léa, puisque cest ainsi que ce nommait cette secrétaire, fit malencontreusement tomber son stylo quelle tenait à la main, en se retournant en direction de la porte de sortie. Elle se baissa alors pour le ramasser et jeus le temps de découvrir son cul nu sous sa jupe courte relevée quand la belle se pencha pour attr son stylo sur la moquette. Visiblement, elle avait été utilisée ou punie car des marques striées fort rougies avaient meurtri son fessier arrondi. De plus un impressionnant plug encombrait son fondement. Puis elle se redressa et sortit du bureau
Concernant Chloé, quelle différence ! Quel contraste entre la soumise que j'avais vue se livrer aux plus impudiques spécialités sexuelles en une servilité affichée et cette jeune femme d'une élégante sobriété. Elle était impeccablement coiffée et maquillée exprimant par son attitude une autorité dont je savais qu'elle n'était que de surface. Tant je l'avais vu et entendue exprimer, par les gémissements et les actes dobéissance, toute l'impudeur de sa Nature réelle, de catin totalement dévouée aux Exigences du Maître.
Joëlle me fit avancer jusqu'au Maitre et d'un même mouvement, nous nous prosternâmes à Ses Pieds. Tandis qu'en appuyant Son pied sur ma nuque, le jeune Noble me faisait comprendre que je devais demeurer ainsi, alors quIl intima à Joëlle l'ordre de se lever et de revêtir une tenue préparée pour elle... Le jeune Châtelain m'avait fait placer à genoux, à Ses Pieds, et j'avais les mains liées dans le dos. De cette place, je pouvais embrasser l'ensemble de la pièce. La soumise Chloé se tenait assise derrière son impressionnant bureau, dans sa sobre et élégante tenue d'experte financière. A linstar de la secrétaire qui nous avait introduits, les cheveux de Chloé étaient tirés en un chignon strict et des lunettes loin de l'enlaidir ne faisaient que mettre en valeur la pure beauté de son visage. L'esclave Joëlle se tenait debout un peu en retrait du siège directorial, vêtue d'un chemisier blanc très simple mais d'une pure soie extrêmement fine et d'une jupe parfaitement moulée dun gris anthracite qui rendait à son cul toute sa rondeur de femelle... Tout était silencieux et immobile, manifestement, quelque chose se préparait et dans ma position si vile je me demandais bien quoi... Après quelques minutes de cet immobilisme sans aucun bruit, le téléphone interne résonna sur le bureau de Chloé et la voix de chienne Léa, la secrétaire annonça :
- Il est là, Madame, dois-je l'introduire ?
- Oui, fait-le entrer, répondit laconiquement Chloé.
La porte du vaste bureau s'ouvrit alors et un jeune homme entra. Son attitude un peu gauche et timide n'enlevait rien au charme de ce garçon d'une vingtaine d'années, vêtu d'un costume de bonne coupe. Il s'avança jusqu'au bureau de Chloé et se tint bien droit face à elle, qui le toisait sans mot dire. La présence supplémentaire de Joëlle au second plan semblait troubler plus encore le jeune homme qui n'avait pas encore remarqué la Présence du Maître Monsieur le Marquis Edouard d'Evans et de Son esclave nu, moi-même, à Ses Pieds. Le regard froid et distant de Chloé devait mettre le jeune homme mal à l'aise... Enfin, elle prit la parole...
- Donc, vous sollicitez la possibilité d'effec un stage de finances auprès de nos services ?
- Oui Madame
- Vous êtes en Maîtrise de commerce international, en Ecole de Commerce, option finances d'entreprise... Mouais... un bon cursus... Mais c'est rarement suffisant...
- Je suis vraiment motivé pour apprendre et progresser auprès de vous, Madame...
- Si cela suffisait, il y aurait une file d'attente interminable devant mon bureau... Sachez que si cet entretien a été possible, cest que je sais que vous êtes recommandé par le Baron Goths qui insiste sur certaines de vos qualités ?
Jai Sa lettre de recommandations sous les yeux
- Oui Madame, le Baron Goths a été très bon pour moi... Il me suit et me conseille depuis le début de mes études
Chloé se redressa, fixant un regard perçant sur le jeune homme...
- Il te baise ?
- (un blanc...) euh... mais... je
, dit-il très gêné balbutiant ces quelques mots, baissant la tête par réflexe
Le jeune homme était manifestement décontenancé par cette question directe, ses joues sempourprèrent
- Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans la question ? Je n'aime pas me répéter : Est-ce que le Baron Goths te baise ?
Attention, sans réponse claire, tu n'es pas loin de sortir définitivement de ce bureau...
Il y eut quelques secondes d'un profond silence, puis, quelque peu tremblante, la voix du jeune candidat murmura avec une honte, une gêne affichée en chuchotant :
- Oui, Madame
- Comment ? J'aime que l'on assume ce que l'on a à dire. Alors, je veux l'entendre haut et clair. Alors pour la dernière fois, est-ce que le Baron Goths te baise ?
- Oui Madame, le Baron Goths me baise, il mencule souvent, même, répondit-il cette fois de manière plus affirmée
- Bien, c'est mieux. Et si j'en crois Sa lettre de recommandation, il aime aussi bien te donner la fessée, t'attacher... éjaculer dans ta bouche, te pisser dessus
c'est juste ?
Le candidat était maintenant totalement paniqué. Lui qui venait postuler pour un stage de finances, voyait sa vie privée, intime, ainsi étalée sans la moindre pudeur. Pourtant, il souhaitait plus que tout manifestement décrocher ce stage car sur la place, nul (le) n'était meilleur que Chloé dans la spécialité qu'il ambitionnait de rejoindre
- Euh, je... oui Madame, en effet, je lavoue
- En effet, quoi ?
- Oui Madame, le Baron Goths me donne parfois la fessée, il m'attache, éjacule dans ma bouche, me pisse dessus ... ce genre de choses...
- Eh bien, tu vois, ce n'est pas si difficile à dire... Que les choses soient bien claires. Si je taccepte comme stagiaire, j'exige une disponibilité totale et que tu exécutes mes ordres sans discuter... Quels qu'ils soient ! Je parle de finances internationales, bien sûr, mais pas seulement. Si le Baron Goths t'a ainsi recommandé c'est parce qu'on a perçu en toi plus que du talent pour les affaires. Il m'écrit que tu sais être, je le cite "une merveilleuse petite salope", tu partages cette opinion ?
Le jeune homme ne savait plus vraiment quelle attitude adopter. Il balançait d'un pied sur l'autre, sa jambe droite tremblait...
- Je... oui... si le Baron Goths le dit
- Mais toi, que dis-tu, toi ? Es-tu une petite salope ? Je veux t'entendre !, lança Chloé d'une voix que je ne lui avais jamais encore entendue.
- Oui Madame, oui je suis une salope, Madame
- Eh bien voilà ! On avance. Bien, maintenant que je sais à qui j'ai vraiment à faire. Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses et voir si tu as les capacités nécessaires pour devenir mon assistant au cours de ce stage. Ou si je devrai te renvoyer au Baron Goths avec un commentaire très négatif... Compris ?
- Je
Jai compris
Oui Madame !
- Ah, par ailleurs, pour ton information, le Baron Goths fait partie du Cercle des Supérieurs, ça ne te dit très certainement rien du tout, mais je veux que tu le saches
S'en suivit une litanie de questions professionnelles sur les finances auxquelles je ne comprenais rien. Mais manifestement le jeune candidat savait, lui, de quoi il s'agissait et ses réponses semblaient satisfaire Chloé. Jusqu'au moment où...
- Non !, s'irrita Chloé; Non, cette réponse n'est pas satisfaisante. Pose ta veste
Et l'interrogatoire reprit, manifestement de plus en plus pointu et peu à peu, le jeune homme plutôt à l'aise au début perdait de sa superbe et... ses vêtements. Une réponse erronée ou approximative était sanctionnée par la dépose dun vêtement
Il n'était plus qu'en caleçon et chaussettes. Et il devait vraiment tenir à ce stage, car au fil des questions et des erreurs, il se débarrassait de ses éléments d'habillement sans trop d'hésitations, sans doute conscient de l'engrenage dans lequel il était maintenant entrainé. Il s'appliqua cependant à essayer de répondre avec le maximum de justesse et de précision, repoussant quelque peu le moment fatidique et évidemment inévitable où il fut nu comme un ver... Bougeant pour la première fois, Joëlle vint ramasser ses vêtements et les emporta hors du bureau. Puis elle revint dans la pièce, se plaçant derrière le jeune homme qui tentait maladroitement de cacher son intimité de ses mains.
- Les mains dans le dos, intima Chloé
Et Joëlle saisissant les poignets du jeune homme le contraignit à obéir. Joëlle gardait les poignets prisonniers de ses mains et Chloé se leva enfin de son bureau pour venir se placer devant le candidat-stagiaire
- Bien. Jimagine que tu as compris que ce stage est assez... particulier. Tes qualités professionnelles me seront utiles et tu apprendras beaucoup ici. Mais tu découvriras que tes..."fonctions" iront bien au-delà de faire le café et compiler des dossiers. Tu devras donner de ta personne, sans jamais rechigner, sans hésitations ni contestation. Il te faudra donc être très obéissant à tout ce qui sera exigé dans un comportement servile et docile à satisfaire avant tout. Es-tu prêt à cela ?
- Oui Madame, affirma le jeune candidat...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!